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Ed Sheeran au Stade de France !

Oh My God !
Waouh !!!

Le vendredi 6 juillet, Ed Sheeran nous a fait l'honneur de venir chanter au stade de France. Dans un endroit pareil, on s'attend à des feux d'artifices, des musiciens en pagaille, des danseurs et danseuses. Mais le jeune anglais était seul sur scène : lui, sa guitare, son looper et quelques écrans. Pourtant, il a réussi à tenir en haleine 60000 personnes pendant deux heures. Un exploit. Une ambiance électrique. Et un concert du tonnerre !



L'après-midi avait déjà été intense pour les supporters français, mais la qualification des bleus pour les demi-finales de la coupe du monde de foot face à l'Uruguay avait fait monter le bonne humeur d'un cran dans les gradins.


Arrivée un peu en retard (j'ai manqué les premières parties), je me suis installée dans cet immense stade pendant qu'une ola faisait onduler le décor. Qui a l'occasion de voir une ola qui non seulement fait le tour du stade, mais remonte aussi tout le terrain ? La soirée commençait bien ! (sur la vidéo, c'est le 4ème ou le 5ème tour, donc tout le monde s’essouffle un peu, mais on la voit quand même).


A 21h15, Ed entre en scène avec un large sourire (et un tee shirt à manches longues malgré la chaleur suffocante !).

Il commence avec "Castle on the hills". Des dizaines de milliers de personnes chantent avec lui. C'est incroyable. Envoûtant.

Après sa première chanson, l'anglais précise que toute sa performance est faite en live et que se produire au stade de France est pour lui un rêve devenu réalité. Pour nous aussi, évidemment ! Quelques photos à l'appui...



Il enchaîne avec "Eraser", une chanson que j'adore (comme toutes les autres d'ailleurs!). C'est ensuite au tour de "The A team", puis un mashup parfait de "Don't" avec "New Man" : truc de dingue ! Mais comment fait-il, tout seul, en live, pour faire ce genre de chose ? Il est juste trop fort !


Entre deux chansons, Ed Sheeran nous parle et on tente de comprendre ses propos ; parce que soyons honnêtes, le français ne sont pas très bons en langues étrangères ! Malgré tout, on saisi l'essentiel : il veut que nous mettions de côté notre peur de se taper la honte pour chanter et danser. S'éclater ! Et il a bien raison ! Alors on le suit.


Séquence émotion avec "Dive". Des milliers de lucioles numériques s'allument et vibrent au rythme de la mélodie. C'est tellement beau...


Le chanteur sait qu'une partie du public ne lui est pas acquise, mais juste là en accompagnement : papa modèles et p'tits copains attentionnés. Pourtant, quand "Bloodstream" commence, tout le monde frappe dans ses mains et lève les bras pour suivre l'artiste qui enchaîne encore et encore.


Il calme un peu les esprits échauffés avec "Happier" et "I'm a mess". Puis embrase une nouvelle fois la foule avec les sons irlandais de "Galway girl".


Et un nouveau mashup extraordinaire : "I see a fire (le Hobbit 2) et Feeling good". Je n'ai qu'un mot à dire : hallucinant ! Non en fait j'en ai deux de plus : absolument génial ! A tel point que je vous partage une petite vidéo (l'alchimie de la fin avec le public vaut vraiment le coup!)


I see a fire :


Les lucioles, pas encore éteintes après la performance précédente, continuent de briller pour "Thinking out loud", puis "One", "Photograph" et la magnifique "Perfect". Un moment magique (désolée pour toutes les dindes qui chantent en même temps...moi y compris, hihi !).


One :


Perfect :


Il entame ensuite "Nancy Mulligan". Et quand les premières notes de "Sing" se font entendre, le stade est en délire et chante presque plus fort que la star du jour.


Puis le voilà qui disparaît. C'est le moment de battre le rappel. Hors de question que ça se finisse comme ça !

Et évidemment, il revient, vêtu du maillot de l'équipe de France. Il nous félicite pour notre victoire et tout le monde applaudit à s'en faire mal aux mains.


Il nous offre "Shape of you" en premier rappel. A ce moment là on sait tous que notre voix sera éteinte le lendemain.


Shape of you :


Et le numéro un de la pop anglaise termine avec un titre qui souligne son amour pour le rap et le talentueux Eminen : "You need me, I don't need you".

Il donne tout ce qu'il a. Il est à fond. Et la foule est captivée.


Quand nous sortons du stade, les allées sont bondées. Les bars qui longent l'édifice passent des morceaux d'Ed Sheeran que les spectateurs jamais rassasiés chantonnent avec gaieté.


Peu importe la chaleur, le hot-dog dégueu, la bière à 10 euros (abusé), la foule, l'attente pour reprendre un métro...cette soirée était épique !


MERCI ED. C'était top !

Et un gros bisous à ma petite panthère que j'adore...

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