Fifty Shades - EL James

​La saga la plus chaude de tous les temps !!! 

Sexy, enivrante, addictive et aussi pleine d'émotions. A dévorer sans modération...

Genre : romance érotique (3 tomes + ceux avec la vision de Christian)

Tome 1 : 50 nuances de Grey ****

​​Résumé :

Anastasia Steele, étudiante en littérature, a accepté la proposition de son amie journaliste de prendre sa place pour interviewer Christian Grey, un jeune et richissime chef d’entreprise de Seattle. Dès le premier regard, elle est à la fois séduite et intimidée. Convaincue que leur rencontre a été désastreuse, elle tente de l'oublier, jusqu'à ce qu'il débarque dans le magasin où elle travaille à mi-temps et lui propose un rendez-vous. Ana est follement attirée par cet homme. Lorsqu'ils entament une liaison passionnée, elle découvre son pouvoir érotique, ainsi que la part obscure qu’il tient à dissimuler... Romantique, libératrice et totalement addictive, la trilogie Fifty Shades, dont Cinquante nuances de Grey est le premier volume, vous obsédera, vous possédera et vous marquera à jamais.Anastasia Steele, étudiante en littérature, a accepté la proposition de son amie journaliste de prendre sa place pour interviewer Christian Grey, un jeune et richissime chef d’entreprise de Seattle. Dès le premier regard, elle est à la fois séduite et intimidée. Convaincue que leur rencontre a été désastreuse, elle tente de l'oublier, jusqu'à ce qu'il débarque dans le magasin où elle travaille à mi-temps et lui propose un rendez-vous. Ana est follement attirée par cet homme. Lorsqu'ils entament une liaison passionnée, elle découvre son pouvoir érotique, ainsi que la part obscure qu’il tient à dissimuler...

→ lu début mars 2018 :

Comme tout le monde, j'ai beaucoup entendu parler de cette saga (peut-être même un peu trop). Je ne suis pas du genre à suivre les tendances. Mais je suis curieuse. Alors j’ai regardé le premier film…et j’ai aimé. Ce n'est pas un chef d'oeuvre, mais c'est plutôt plaisant. Pas de quoi fouetter un chat. 

Quand le deuxième film est sorti, je me suis dit « Il est peut-être temps de le lire, ce fameux livre ? ». Mais là encore, j’ai laissé ma curiosité l’emporter (j’étais dans un autre livre et je n’ai pas pu résister à la vue de cette belle affiche de cinéma).

Voilà quelques mois, je me suis enfin décidée à ouvrir ce premier tome. Et là, j’ai été déconcertée. Oui, déconcertée. Je m’attendais à quelque chose de charnel et d’excitant. Mais là…là...ma pensée dépasse mes mots. Excitant : oui, à 100%...ou plutôt à 1000% ! Je dirais même à la limite de l’indécence (surtout quand on lit dans le train et que machinalement on se mord la lèvre sans s’en rendre compte ! Le sourire de la femme d’en fasse m’a vite fait comprendre qu’elle l’avait lu aussi…).

Pour résumer, et je pense que c’est très à propos, ce tome est simplement JOUISSIF ! Je crois que ça comble les vides de tous ces livres dont on a adoré l’histoire mais dans lesquels on attendait un peu plus d’amour et surtout plus de sexe ! Alors un grand merci à E.L James pour cette savoureuse délectation des perversions humaines les plus enivrantes qu’il soit (je crois que les fabricants de cordes, menottes et globalement toutes les boutiques de sex-toys de la planète doivent aussi lui dire merci…) 

Tome 2 : 50 nuances plus sombres ****

​Résumé :

Dépassée par les sombres secrets de Christian Grey, Anastasia Steele a mis un terme à leur relation pour se consacrer à sa carrière d'éditrice. Mais Grey occupe toujours toutes ses pensées et, lorsqu'il lui propose un nouvel accord, elle ne peut lui résister. Peu à peu, elle découvre le douloureux passé de son sulfureux M. Cinquante Nuances. Tandis que Christian lutte contre ses démons intérieurs, Ana doit prendre la décision la plus importante de sa vie...

→ lu mi mars 2018 :

Ce deuxième tome porte bien son nom : il est en effet plus sombre. Même si le temps des découvertes est loin d’être fini, le récit est par bien des aspects plus sérieux, plus grave, plus profond. L’attrait sensuel et très érotique de la saga est presque évincé par l’intensité émotionnelle de l’histoire d’amour entre Ana et Christian. On comprend assez facilement que le film ne peut pas reproduire toutes les scènes de sexe sans devenir un film pornographique, mais il ne rend pas non plus honneur à la myriade d’émotions que nous fait ressentir ce tome. L’alchimie entre eux, le besoin primordial, je dirais même primitif, qu’ils ont d’être tous les deux est incroyablement puissant. Quelle femme ne rêverait pas d’être désirée comme ça ? Qu’on ait besoin d’elle au point de ne plus pouvoir respirer quand elle s’éloigne ? Et inversement... Que le simple fait de plonger dans les yeux de l'autre lui fasse tout oublier ? Qu’un timide frôlement de peau la fasse chavirer ?

Et en plus de tout ça, l’intrigue nous offre quelques sueurs froides.

La tension, l’excitation, la peur et la passion se mélangent pour nous emmener vers un troisième tome dont on a hâte de connaitre la fin.

Tome 3 : 50 nuances plus claires ****

​Résumé :

Ana et Christian ont tout pour être heureux : l'amour, la fortune et un avenir plein de promesses. Ana apprend à vivre dans le monde fastueux de son M. Cinquante Nuances, sans perdre son intégrité ni son indépendance, tandis que Christian s'efforce de se défaire de son obsession du contrôle et d'oublier son terrible passé. Mais bientôt, alors que tout semble leur sourire, le destin les rattrape et leurs pires cauchemars deviennent réalité... Un happy end est-il possible pour Christian et Anastasia ?

→ lu début juin 2018 :

Ce dernier tome est toujours aussi sensuel, aussi charnel, peut-être même plus encore. Sans doute le meilleur de la saga (en tous cas, il la termine à la perfection). N'hésitez pas à le lire si ce n'est pas encore le cas. Pour le reste, impossible de ne pas spoiler cette fois. Désolée...

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Attaque de SPOILERS :

La relation entre Mr et Mrs Grey évolue : c’est un régal de voir Ana se dévergonder et faire tourner Christian en bourrique. On croit qu’il est le dominant de l’histoire, mais c’est elle qui finit (presque) toujours par avoir le dernier mot, d’une manière ou d’une autre. En tous cas, on ne peut nier que ce couple fait des étincelles. Leur lien est fort, leurs échanges toujours intenses. On ressent très bien à quel point il s’inquiète pour elle, pour sa sécurité. Il a tellement besoin d’elle ! Ana est son monde. Mais il a du mal à comprendre qu’il est également le sien. C’est parfois un peu frustrant. Cela dit, cette frustration est celle d’Ana et l’auteur nous fait bien passer le message.

Est-ce que j’envie Ana ? Oh que oui ! Mais ce n’est pas Christian que je lui envie, pas vraiment. Bon, d’accord peut-être un peu. C’est vrai qu’il est incroyablement beau, charismatique, un dieu du sexe et honteusement riche. Pourtant ce n’est pas l’important. Ce que je lui envie par-dessus tout, c’est la manière dont il l’aime. Follement. Outrageusement. Désespérément. Est-ce seulement possible d’aimer comme ça ? Attention, que mes propos ne soient pas mal interprétés : j’aime ma vie (la plupart du temps), et je suis heureuse avec Monsieur Violette. Mais ce que ces deux-là vivent, c’est…waouh ! Et je ne parle pas que du sexe, qui est manifestement au top. Ce qui me retourne le cœur et les tripes dans chaque chapitre, c’est leur dépendance l’un à l’autre…une addiction implacable, irrésistible, inaliénable.  Le genre d’addiction dont on n’a aucune envie de se défaire !

Une amie à moi (sans conteste la meilleure, ma petite panthère…), m’a fait cette réflexion : « Ce genre de relation n’existe que dans les fictions. Ça n’arrive jamais dans la vraie vie… ». J’ai hoché la tête. Elle a sans doute raison. Mais suis-je prête à penser de cette manière ? Suis prête à repousser l’idée que quelque part, autour de nous, il y a des personnes qui s’aiment si passionnément que c’en est douloureux ? Des êtres qui ne peuvent pas supporter d’être éloignés l’un de l’autre… Des gens qui ont un tel besoin d’être ensemble que le monde entier pourrait s’écrouler, tant qu’ils sont tous les deux… Serais-je prête un jour à abandonner ce genre d’idées ? Je ne le pense pas. Encore une conséquence inhérente à mon enfance bercée par les Disney! Eh oui, je crois toujours aux contes de fées...

Ce tome m’a agréablement surprise avec l’arrivée de Petit Pois numéro un (puis numéro deux). Je ne m’attendais pas à ça avant la toute fin ; plutôt à un épilogue qui se terminerait sur l’annonce d’une grossesse. Ça n’a pas été le cas et c’est pour le mieux : EL James nous en a donné pour notre temps. L’histoire se termine et ne nous laisse pas sur notre faim. C’est agréable. Reposant. Je suis ravie. J'aime les happy end, je ne le dirai jamais assez.

Beaucoup de blabla, je sais...désolée.  Il faut quand même que je vous dise : pour moi, Ana et Christian sont les Roméo et Juliette de cette décennie (la fin dramatique en moins, ce qui est un énorme plus !). Les livres transmettent vraiment toute la portée de leurs sentiments : passion, peur, amour, douleur, espoir... Les films, quant à eux, sont sympas à regarder, mais manque cruellement d'intensité si on les compare aux livres. Tout est moins WAOUH ! Leur amour. Leur colère. Leurs craintes. Leurs envies. Leurs vengeances. C'est comme une histoire racontée par une voix préenregistrée sur un ton uniforme, comparée à celle transcendée par un conteur qui y met toute son âme.

OK... J'en fais peut-être un peu trop. Et alors ? ! ! ! 

Une dernière chose avant que je referme ce chapitre : je n’étais pas franchement emballée de revivre l’histoire du point de vue de Christian. Je n'y voyais pas grand intérêt (mis à part pour faire plaisir à Mme Libido...). Mais après m’être plongée dans l’épilogue du dernier tome, j’ai complètement craqué pour le petit Christian apeuré ; celui qui ne veut pas que sa nouvelle maman sache qu’il est méchant. C’est tellement touchant ! Pourquoi les hommes brisés sont-ils si attirants ? Je le découvrirai peut-être en lisant la suite…

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