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Photo du rédacteurViolette Subros

Kei - Ena L

Méga COUP DE FOUDRE !!! ❤️❤️❤️

Une lecture totalement magique ! Des fous rires mémorables. Des scènes magnifiques, intenses, tendres, bouleversantes. Des larmes aussi (j'avais du mal à m'arrêter à un moment). Des personnages a leur top niveau. Et tellement, tellement d'amour.

C'est plus qu'un coup de cœur !



Genre : new romance

Éditeur : autoédition

Nb de pages : 525


Résumé:

Kei Kirishima.


Deuxième fils du leader des Fuck Off, groupe de rock mondialement célèbre.

Musicien de génie, oreille absolue, capable de jouer de tous les instruments. Exigeant, vulgaire et insupportable.

Son credo : « La plupart des gens sont à l’image des partitions bas de gamme : horripilants, prévisibles, insipides. Je préfère être seul que devoir supporter leur musique de merde. »


En dépit de son talent inné et de sa passion pour la musique, Kei s’est fait renvoyer des trois dernières écoles qu’il a fréquentées en raison de son mauvais comportement. C’est au conservatoire de Bordeaux qu’il joue désormais sa dernière chance.


Le défi est de taille, mais il l’est doublement lorsque Kei se trouve attiré par une jolie pianiste. Car s’il est doué pour la musique, il n’en est rien avec les femmes. Lui, le type infect par excellence, sans filtre, incapable de politesse et de douceur, va se retrouver confronter à une femme qui incarne tout son contraire. Pour Kei, c’est le début d’un parcours semé d’embûches, mais également d’une alliance inattendue avec une personne de son entourage.



lu en août 2022 :


Jamais je n'aurais cru que Kei Kirishima puisse devenir l'un de mes chouchous, et pourtant...

Si j'ai adoré tous les livres de l'auteure, celui-ci est dans mon top 3.

Je ne sais pas trop comment l'expliquer, mais ce roman est une sorte de concentré de tout ce que j'ai adoré dans les autres, et que l'on retrouve ici à travers de nouveaux personnages et situations :

- le côté brut, asocial, malpoli et exigent de Také (NAFR)

- la folie de Jya et Vadim qui cache pourtant des souffrances (LBB)

- la violence de Hunter (Rough : elle est différente, mais ça reste de la violence)

- la sensibilité de Camden (Borderline Melody 1)

- le côté écorché vif de May (Borderline Melody 2)

- la bienveillance de Jamie et la franchise d'Ayato (Ayato)

- l'amour de la famille Andersen (So romantic)

- la complexité des relations (All fuckin mine)


C'est une putain de lecture géniale qui m'a bouleversée, secouée, fait enrager, rire, tourner en bourrique. J'ai tellement adoré ! 😍😍😍


La plume


Je ne sais plus quoi dire 😅

Une plume géniale, moderne, un peu fofolle, avec des centaines de notes de bas de page qui me font toujours autant marrer (oui, moi, je les adore ces notes, et je me régale à chaque fois).

Je suis fan.



Le contexte / le décor / la mélodie

Le récit se déroule 3 ans après l'histoire d'Ayato.

On se retrouve dans un décor que l'on affectionne particulièrement : Bordeaux et Lacanau.

Le contexte ? Un fils colérique qui doit faire ses preuves. Des potes déjantés. Un flic très très louche. Un amour inconditionnel pour la musique, et pour les nuggets 😂. Une rencontre. Des peurs à dépasser. Un colloc bordélique. Des filatures. Des malentendus. Des amitiés...

OK, je suis allée un peu plus loin que le simple contexte, mais ce n'est pas grave.


Le rythme : il est très bon, comme toujours. On navigue entre rigolades et moments intenses, pleins de frustrations, de colère, de fascination, pleins d'émotions, tout simplement.

Je l'ai bouffé en une journée. Je ne pouvais pas m'arrêter.



L'histoire / l'intrigue

Kei doit terminer son année au conservatoire de Bordeaux après s'être fait virer pour la 3ème fois de ceux de Paris.

C'est sa dernière chance de prouver à son père, son modèle, qu'il peut réussir. Et surtout, de se le prouver à lui-même. Parce qu'il en a terriblement besoin.

Le problème, c'est que Kei et les institutions, ce fait 2 (ou plutôt, ça fait 1000 ! 😅 il ne sait pas se tenir correctement).


Il va y faire la connaissance d'une pianiste pour qui il craque dès la première rencontre (et je dois dire que j'ai adoré la raison de son coup de cœur pour elle 💗).

Mais Kei est insupportable et colérique. Sans filtres. Il est incapable de mentir, et comme rien ne trouve grâce à ses yeux, impossible pour lui de passer en mode "drague". Il ne sait pas faire (que ce soit en amour ou en amitié d'ailleurs, en société tout court).

Autant vous dire que les mois à venir risquent d'être compliqués...


Je ne peux pas trop entrer dans les détails, je ne veux pas vous spoiler. Mais sachez que son alliance inattendue va entraîner des situations hilarantes, des scènes tendres et tellement émouvantes, des quiproquos de malade qui m'ont bien retourné le cerveau, des rebondissements à la fois haletants et rageants. Et comme tout n'est pas toujours rose dans la vie, il y aura aussi des coups durs et des conversations qui m'ont bouleversée.

Mon ptit cœur a pris cher avec Kei. Mais j'ai vraiment adoré ! 😍



Les personnages


- Kei : alias, la Terreur. Exigent dans ses relations et pour tout ce qui touche à la musique, un brin maniaque (il le dit lui même, l'ordre permet de contraster avec le bordel dans sa tête), il est constamment en colère, a des accès de rage incontrôlables qu'il subi sans pouvoir rien y faire, sans savoir d'où ça vient.

Il se voit comme le raté de la famille. Il admire son père, le vénère presque, il veut lui ressembler et ne se sent clairement pas à la hauteur.

Pourtant, c'est un génie de la musique (il a l'oreille absolue).

Il a un très gros problème avec l'autorité et ne supporte pas qu'on le félicite, quand lui trouve des défauts à tout ce qu'il fait. Il n'est pas seulement intransigeant avec les autres, mais surtout avec lui-même, beaucoup trop d'ailleurs.

Il aime sa solitude, toujours planqué derrière ses écouteurs pour s'isoler du monde. Il est carrément asocial, n'ayons pas peur des mots.


Et malgré les paroles pas très jolies qui sortent constamment de sa bouche, il est d'une sensibilité incroyable, déroutante, charmante ! 😱 Il peut faire preuve d'une douceur que l'on n'imagine pas.

J'ai totalement craqué sur ce personnage dont la psychologie est hyper bien maîtrisée. Il est complexe, toujours à fleur de peau, écorché vif. Mais il est surtout entier jusqu'au fond des tripes. Kei ne sait pas faire semblant, il a même du mal avec les émotions en général parce qu'il ne les maîtrise pas. Quoi qu'il fasse, qu'il aime, qu'il déteste, il le fait pleinement, sans arrières pensées, sans concessions.

Il m'a énormément touchée, que ce soit dans ses fêlures ou sa manière d'aimer. ❤️


- La fameuse personne avec qui Kei va faire alliance : De qui s'agit-il ? Je ne citerai aucun nom, je ne révélerai même pas si c'est un homme ou une femme, ou ni l'un ni l'autre. Mais j'ai eu un ÉNORME CRUSH. 😍

Une personne zen, qui s'émerveille de tout ce qui l'entoure, aime tout le monde et surtout vit l'instant présent à fond sans se poser de questions.

Authentique, cool, avec un sourire éternel scotché au visage, sans retenue ni délicatesse, c'est un esprit libre, fort et indépendant.

Mais cette personne a également du caractère et ne supporte pas l'intolérance. Elle est du genre à rentrer dans le lard des brutes qui s'en prennent aux plus faibles. Oreille attentive, empathique, elle est toujours là pour ses amis, quitte à les faire passer avant elle.

Rien ne semble atteindre ce personnage qui est pourtant plus complexe qu'il n'y parait, qui a aussi ses blessures, ses peurs, ses défauts, et surtout sa manière bien à lui d'encaisser les coups.

Ça m'a rappelé Jya et Vadym dans Lacanau BB.

Et c'est franchement un personnage excellent. Je l'ai kiffé de ouf !


En dehors de ces deux-là, et de la fameuse pianiste dont je ne dirai rien (parce que c'est plus drôle si vous découvrez vous même la relation qui va s'installer entre elle et Kei), il y a plusieurs personnages secondaires qu'il me tarde vraiment de connaître mieux. Ils sont tous excellents, en particulier le coloc de Kei qui m'a fait beaucoup rire.



La fin

Pwa là là ! Je vais parler de la fin au sens très large, parce qu'elle regroupe pas mal de chapitres à mon sens, qui m'ont bouleversée. J'ai pleuré comme une madeleine. 😭

Mais si on prend la toute fin, je dirais qu'elle est tellement à l'image des personnages qu'elle en devient excellente !

Je vois souvent des post de lectrices sur les réseaux qui reprochent aux persos de changer complètement de personnalité en tombant amoureux. Ce n'est jamais le cas chez Ena. Les personnages sont ce qu'ils sont, ils ont leurs travers, leurs défauts (en pagaille), leurs démons, et ils sont eux-mêmes du début à la fin. Quand un couple se forme, ce n'est pas pour que l'un essaie de changer l'autre, c'est parce qu'ils s'acceptent, dans le pire comme dans le meilleur. Et c'est justement ça, l'amour, non ? 🥰



Les plus

- en premier, les personnages, qui sont justes génialissimes ! (dans mes préférés tous romans confondus ❤️)

- les fous rires que je me suis tapés, notamment grâce à des conversations improbables en japonais 😆

- les émotions de folie qu'on nous fait ressentir

- des moments d'une tendresse faire chialer (je paraphrase, mais c'est tellement ça ! j'en ai encore des frissons 😍)

- deux chapitres en particulier vers la fin, qui m'ont fait couler les larmes : extrêmement émouvants ! 🤧



Les moins

Alors là, j'ai plein de choses à vous dire pour une fois ! Déjà, j'ai trouvé franchement nul le fait que...

Non, je décoooonne ! (vengeance pour la frayeur au début de Ayato 😝)

Il n'y a rien à jeter, rien à relever. Ce roman est parfait comme il est.



Pour conclure, vous l'aurez compris, Kei est un de mes plus gros coups de cœur d'Ena. Je vous conseille de tous les lire dans l'ordre afin de ne pas vous spoiler, car c'est génial de découvrir petit à petit qui va finir avec qui. Mais celui-ci gardera une place spéciale pour moi. Parce qu'il a réussi à me faire rire autant qu'il m'a touchée.

C'était une très très très très belle lecture !

Je le conseille à 10000 % 💗


 



Avec une histoire comme celle-ci, j'ai forcément pleiiiin de choses à dire ! Donc, bienvenue dans la partie blabla, réservée uniquement aux initiés (comprenez, ceux qui l'ont déjà lu).

Les autres, je vous demande poliment de ne pas poursuivre (à la manière de Kei, ça donnerait : "Dégagez ! 😅 Mais je suis plus gentille que lui, donc je vous dis simplement au revoir et à bientôt 😜)



Kei et ses démons :

C'est super intéressant, parce qu'il en a des tas, et il sont tous plus ou moins liés.

- Le regard des adultes sur lui quand il était gosse, leur jugement, la manière dont on essayait de le faire rentrer dans un moule, une case (je crois que c'est très juste, et que ça peut faire des ravages sur un petit garçon 😓).

- Son "hypersensibilité acoustique" (si on peut le dire ainsi, parce qu'elle ne se limite pas qu'aux sons) et l'incompréhension du monde qui l'entoure.

- La pression d'être le fils d'une star internationale élevée au rang de divin (pression qu'il se met tout seul quelque part), ainsi que son intransigeance envers lui même et les autres.

- Son incapacité à exprimer ses émotions autrement que par la colère (son moyen de défense), ou la musique (son exutoire autant que sa prison : j'y reviendrai).

Tout ça fait de Kei un personnage fabuleux.

Et si on y ajoute ses plus belles qualités, la manière dont il prend soin de ceux qu'il aime dans l'ombre, et le fait qu'il soit une personne tellement entière qu'il ne peut pas tricher, ainsi que son génie pour la musique, cela donne un résultat que j'ai même du mal à exprimer.

Il est...rhaaa, je ne trouve pas le bon mot. Extraordinaire ?!!! 😍



Une passion dévorante, aussi libératrice que douloureuse :

J'ai adoré le rapport de Kei à la musique. S'il n'a de respect pour quasiment rien ni personne, il en a énormément pour la musique. C'est un art sacré pour lui. Chaque fausse note est perçue comme une attaque, chaque morceau joué avec sa tête plutôt que son cœur est un affront. Chaque imperfection, que ce soit chez lui ou les autres, ne fait qu'exacerber son besoin d'atteindre une perfection fictive.

La musique est son mode d'expression, son oxygène. Elle lui est nécessaire pour bien respirer, pour communiquer.

Mais elle est aussi une source de souffrance. Elle l'emprisonne, le rend quasiment fou, ne lui laisse aucun répit.

C'est à la fois beau et difficile, intense et frustrant.

Et ça se répercute dans sa vie quotidienne. Sa manière de percevoir les gens à travers leur voix, c'est...Waoooouuuuh ! 🤩🤩 Une idée géniale ! Très originale. franchement, je suis sur le cul, et jalouse, parce que j'aurais voulu l'avoir !



Des scènes à vous coller des frissons :

Non, je ne parle pas de scènes d'horreur.

Ce ne sont pas des frissons de peur, mais d'émotions qui m'ont parcourue avec cette histoire. Certains passages entre Kei et ... biiiiiiip (censure oblige) sont simplement magnifiques, magiques !

Ça m'a fait éprouver tant de choses !

C'est même dur à expliquer, mais je crois que je n'avais encore jamais ressenti autant de tendresse et d'abandon dans une romance.

C'était...tellement parfait ! (je pense notamment à la nuit dans le van, à la plage aussi).

Comme dit plus haut, Kei a une manière d'aimer, une conception de l'intimité, qui m'a scotchée et bouleversée : avec lui, c'est tout ou rien. Les plans cul, ça ne l'intéresse pas, d'autant plus qu'il a du mal à se laisser approcher. Ce qu'il cherche, c'est la confiance et la compréhension. Il a besoin qu'on le comprenne, parce que personne n'y arrive jamais. Il n'est pas question de sexe pour lui, c'est bien plus que ça, c'est une découverte de l'autre, de ses saveurs, de son corps, de ses sens, de son être tout entier.

C'est une véritable communion. J'ai adoré ! 💗 (honnêtement, le terme "adoré" n'est pas assez fort, mais je reste limitée par mon vocabulaire)



Des scènes à vous étouffer (de rire 🤣) :

L'un des personnages m'a régalée tout au long de cette histoire. Qu'est ce que j'ai pu rire avec ses réparties, ses attitudes ! Entre son japonais approximatif, son amour pour les nuggets (le coup de fil pour les magnets, sérieux, elle a osée ? 😆😆), ses préparations pour un futur rancard, ses tentatives d'esquives...


Ses sourires m'ont troublée aussi, à des instants où on ne les attend pas (je passe dans le moins drôle, mais c'est le bon moment).

Parce que c'est aussi une perle rare, le genre de personne à recueillir tous les chats errants, les laissés pour compte, les isolés, les malheureux. Quelqu'un qui ne supporte pas de laisser des gens dans l'indifférence ou la détresse (même si c'est un moyen pour elle d'apprécier sa propre vie).

Citation : "On se ferait chier dans un monde où tout le monde est pareil, non?" Mais teeeeelllllement ! (pardon, je dis beaucoup de "tellement", mais je ne trouve pas de meilleur moyen de vous transmettre mon enthousiasme face à ce roman).

Putain, je pourrais tomber amoureuse de ce perso, sérieusement ! Non, en fait, je SUIS amoureuse ! Complétement. Irrémédiablement. (c'est grave docteur ? Je pourrais peut-être demander à Jamie ce qu'il en pense ? 😅)


Et puis, il y a, entre autres, la soirée où Francette chante à tue-tête, et où Hardin balance son oreiller à Kei : j'imagine trop cette scène ! 😂

Et je ne parle pas des fêtes épiques qui m'ont fait penser à Benetton et aux non-anniversaires. Trop bien.



Des scènes à coller son poing dans un mur :

Ouais, il y en a des tas, parce que la communication est très compliquée. 🙈 À plusieurs reprises, je me suis dit " Mais putain, ouvre les yeux ! Tu crois qu'elle se casserait le cul avec toi et tes humeurs de chien si elle s'en foutait ?", ou encore " Mais ravale moi ce sourire, pleure, hurle, frappe-le, révolte-toi ! Il n'attend que ça ! ".

Et des répliques où on a juste envie de les étrangler : "Que dalle. Tu ne représentes rien pour moi" 😡😡

Grrrrr. Ils m'ont énervée tous les 2. 😤



Des scènes à vous retrouver en mode "panda" :

Pourquoi panda ? Parce que les larmes font couler le maquillage jusqu'à ce que vous ressembliez à un mignon petit panda.

Pour moi, il y en a eu 2 en particulier.


La première au moment des résultats. J'étais à la fois triste, rageuse et déroutée. Gros sentiment d'injustice. Et gros poids sur le cœur. 💔 L'état dans lequel il se met m'a fait trembler avec lui. Et j'étais vénèèèèèère ! 😡


La seconde, c'est la discussion avec Také. Et bon sang, je ne pouvais plus m'arrêter de chialer. 😭😭😭 C'était émouvant, prenant, presque suffocant, et tellement, tellement beau. Scène mémorable. Scène coup de cœur. Intense. Déchirante. Pleine d'amour !

Je l'attendais ce passage, je l'espérais depuis leur dispute avant son départ. Et il ne m'a pas déçu. Chaque mot sortant de la bouche de Také est perçu par Kei soit comme un coup de poignard, soit comme une délivrance. C'est comme ça depuis le début. On savait déjà qu'ils avaient une relation particulière, mais dans ce roman, elle prend une toute autre dimension. C'est si puissant, si dévastateur aussi, et pourtant, c'est basé sur le plus pur des sentiments : l'amour entre un père et son fils. 💕

Ça m'a encore plus donné envie de retrouver Také dans un roman dédié qui devrait arriver bientôt (vu la vitesse à laquelle Ena écrit ! 😜).



La rencontre de 2 âmes :

Je vais éviter les gros spoilers, même dans cette partie. Mais j'ai adoré... ah là là, c'est dur d'expliquer sans trop en dire :

La manière dont un des perso se comporte avec l'autre. Une forme de respect à ne pas trop s'approcher, à laisser passer l'orage, à ne pas appuyer là où ça fait mal, mais au contraire, à détourner l'attention sur des sujets plus frivoles. Ses silences (qui en disent vraiment long), ses attentions sans rien demander en retour. C'est une réelle compréhension du fonctionnement intrinsèque de l'autre. Un réel effort pour le connaître et l'accepter. C'est juste trop beau. 😍 (bah, voilà, c'est malin, j'ai encore les larmes aux yeux !)

Et puis, il y a la boîte à partitions... Dès le premier coup de sang de Kei, je me suis dit que je l'aurais fait. Alors, quand j'ai découvert que biiiiip l'avait vraiment fait, j'ai trouvé ça génial (et mon amour pour ce perso n'a fait que se multiplier 💗).


Et si on inverse les rôles, le fait de voir la peur derrière un sourire, de détecter les sous-entendus qui se cachent sous les blagues... ça aussi, ça prouve un intérêt manifeste pour l'autre, même si une part d'incompréhension demeure pendant trop longtemps.

Une comparaison très juste est evoquée entre l'un qui se débat contre l'océan et l'autre contre le monde avec sa colère.

Tant de points communs malgré leurs différences...



Des quiproquos de ouf 😱 !

Franchement, je ne l'avais pas vu venir du tout. C'était super bien amené.

Et toute la scène où on comprend est juste excellente.

Bravo ! Ça ajoute un plus dans l'intrigue. C'est génial.



On termine avec des répliques et passages qui devraient être cultes (soit très drôles, soit magnifiques) :


- "Mes bonsaïs ne se sont jamais plaints " : j'ai failli m'étouffer avec mon propre verre d'eau, que je regardais d'ailleurs d'un œil nouveau ! 😏 (Hardin, je l'adore, je veux trop lire son livre)


- "C'est à cause de mon monosourcil ?" : cette nana ne se tait jamais et dit 150 conneries à la minute. 😆 Je la kiffe ! Je la kiiiiiffe !


- Madeille, une amie imaginaire...particulière : là, je n'ai pas besoin d'expliquer, rien que le concept est déjanté (je ne sais pas si c'est du vécu, mais c'est trop drôle 😅)


- " Tu as amené ton gros violon ? Tu as envie de me le montrer ? " : Bon sang, mais combien de fois j'ai éclaté de rire ? Ce livre aurait pu avoir ma peau 🤣🤣🤣 (je vous jure, je relis mes notes, je rigole encore !)


"J'ai la sensation de me noyer quelque part entre son cœur et le mien" : ohhhh, c'est trop beau ! 😍😍


- "Jeu suis épouisette " : trop chou Jimmy 😄



Ps : mais c'est pas vrai, Monsieur Célestin est partout !!! 😅



Un dernier mot pour Ena (enfin, plusieurs) : tu dis toujours merci quand on donne notre avis sur tes romans. C'est vraiment génial, parce que tous les auteurs ne le font pas et ça fait tellement plaisir. C'est aussi ça, le partage. Mais en fait, c'est à nous, lecteurs, de te dire merci. Merci pour tous ces beaux moments, pour ces échanges à distance, à travers tes mots, tes personnages merveilleux, ton univers. Merci pour tous ces beaux messages que tu véhicules, la tolérance, l'acceptation des autres et de soi, la diversité, l'amour.

Honnêtement, je plains tous les gens qui ne lisent pas, et aussi ceux qui n'ont jamais mis le nez dans tes romans, parce qu'ils ratent quelque chose !


Après les bons sentiments, place à la vérité absolue : quand est-ce que Netflix nous pond une série sur les chocolatines ? Non, mais, sérieux ! Ce serait tooooop ! En plus, avec tous ces beaux-gosses, il y a de quoi réchauffer les chaumières pour l'hiver. Une solution infaillible aux problèmes d'énergies ! 😝


 
Ai-je vraiment besoin de conclure ?
Ce livre est une pépite ! Ne passez pas à côté ! 💗

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